En Ouganda, les femmes font toujours l’objet de violences. Elles souffrent le martyr. C’est pourquoi, en cette journée du 25 novembre qui marque la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, elles n’ont pas hésité à élever la voix pour se faire entendre.
Viols, mariages précoces, violences domestiques… Voilà les maux qui hantent le sommeil des femmes Ougandaises. Elles demandent plus de considération à leur égard. Pourtant, les nombreuses organisations féminines s’engagent toujours dans le combat pour freiner ce mal.
La situation est toujours critique dans ce pays sous le mutisme des autorités qui tardent à décanter les choses. Selon des chiffres, 40% de jeunes femmes ougandaises ont été mariées avant l’âge de 18 ans.
« Ce sont principalement les hommes qui écrivent dans les pages d’opinion dans ce pays », a fait savoir Rosebelle Kagumire. Elle est blagueuse très connue dans ce pays.
Pour d’autres femmes, elles se plaignent toujours en déplorant les nombreuses victimes dont les femmes font l’objet. Selon les Ougandaises, il urge aux autorités de trouver une issue heureuse ; car, ont-elles expliqué, les choses ont trop duré.
Plusieurs pays africains sont dans cette situation. Au Mali, au Sénégal, en Guinée et bien d’autres pays, les cas de violence sur les femmes sont nombreux. Il ne peut passer un seul jour, sans que la presse ne relate ces faits divers. Du jour au lendemain, les femmes font l’objet d’attaques sexuelles. Pour la plupart, elles sont violées. Leur âge tourne entre 12 et 15 ans.
Les organisations féminines ont toujours porté le combat. Mais, les parlementaires tardent à punir sévèrement les fautifs des viols. Les mariages précoces sont aussi nombreux.
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