Le journal Libération sauvé par le Gabon ?
Le journal français Libération fait l’objet d’une enquête du parquet financier de Paris. D’importantes sommes d’argent ont transité par ses comptes pour l’organisation du « Forum Libé » au Gabon en 2015.
Le journal français Libération fait l’objet d’une enquête du parquet financier de Paris. D’importantes sommes d’argent ont transité par ses comptes pour l’organisation du « Forum Libé » au Gabon en 2015.
1,5 milliards de francs CFA ont disparu en 2015 d’un compte séquestre du notaire gabonais. Cet argent devait permettre la relance de SIFRIGAB avec des partenaires mauriciens.
La représentation diplomatique du Tchad a été mise à sac le 26 mars par un groupe d’activistes réclamant le départ du président Idriss Déby.
L’Agence d’Investigation Environnementale (AIE) vient de publier un rapport explosif l’exploitation forestière illégale au Gabon et au Congo. Razzia chinoise sur les forêts africaine, le rapport accuse directement plusieurs ministres de corruption. Jean Ping n’est pas épargné.
Plus d’un million de personnes luttent pour reconstruire leur vie dans les régions inondées du Mozambique. Beaucoup d’entre eux ont urgemment besoin d’aide pour survivre. Devant l’ampleur des dégâts, la réponse à cette catastrophe causée, à la fois par les fortes inondations et le cyclone Idai, sera tout simplement énorme. Les équipes d’urgence de Médecins Sans Frontières (MSF) ont commencé les interventions médicales et le déploiement de l’aide humanitaire est en train de passer au niveau supérieur, grâce aux systèmes d’intervention d’urgence maintenant activés.
Les combattants de groupes armés sont affectés à la sécurité présidentielle, mais aussi à celle du peuple conformément aux articles 16 et 17 de l’accord de Khartoum au Soudan.
Les trois enfants sont sortis de la maison d’arrêt de Ngozi à 200 kilomètres de Bujumbura, la capitale, il y a quelques jours.
L’Afrique doit bâtir des économies plus résilientes pour disposer des ressources qui lui permettront d’atteindre ses objectifs de développement dans les prochaines décennies. Pour cela, le continent doit donner la priorité à la mobilisation des recettes et tripler la croissance de ses économies, a conclu la Conférence des ministres de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), qui s’est achevée à Marrakech.
En matière de transformation numérique, l’Afrique est encore à la traîne par rapport au reste du monde et, malgré le nombre croissant de solutions innovantes, le manque persistant d’infrastructures adéquates et de connectivité empêche le continent de réaliser son véritable potentiel économique. Le meilleur moyen, et le plus rapide, de surmonter ces obstacles pourrait consister à renforcer la coopération entre les pays et leurs divers régulateurs.
L’ancienne ministre nigériane de la Technologie des communications, Dr Omobola Johnson, a dirigé lundi dernier la conférence annuelle d’Adebayo Adedeji à l’occasion de la Conférence des ministres qui s’est déroulée à Marrakech.