Le Sénégal gagne un pas. Tout porte à le croire. Car, le Conseil de sécurité des Nations-Unies est entre les mains du Sénégal pendant 30 jours.
Le Sénégal dévoile sa feuille de route ; parce que le conseil sécurité de l’ONU est entre ses mains. Du coup, les autorités sénégalaises ont pris toutes les mesures idoines, en déroulant sa stratégie.
Il faudra une réponse au défi que représentent des menaces comme le terrorisme pour l’efficacité des missions de paix. Hormis ce combat, les différents commissaires de police devront échanger pour mettre un plus d’accent sur la protection des civils, la réforme du secteur de la sécurité, la sûreté et la sécurité mais aussi l’exploitation et l’abus sexuels.
Il s’agira aussi d’appuyer l’Union africaine (UA). Ce sera pour renforcer l’efficacité des opérations de maintien de la paix déployées par l’institution africaine, notamment à travers un financement prévisible, durable conformément à l’engagement des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union. Pour le 17 novembre prochain, la coopération régionale sera au cœur des débats.
S’agissant des questions africaines, le Conseil de sécurité se penchera sur la situation au Burundi pour connaître de l’état d’avancement du dialogue politique, mais aussi au Soudan du Sud, particulièrement le processus de dé¬ploiement de la Force de protection régionale et le rapport des violences survenues à Malakal en février et à Juba en juillet. A ce niveau, la mission semble être difficile. Car, ces différents pays sont menacés. Les guerres sont nombreuses dans ces différents endroits.
Qu’on le veuille, les dirigeants africains doivent avoir le courage de se parler pour tenir un langage de vérité. Que les Etats africains arrêtent de suivre les Européens.
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