Comme souhaité depuis 1998, le Plan national de développement sanitaire 2017-2021, a été validé. Le ministère de la santé l’a finalement mis à la disposition de l’Etat et des populations, le 04 juillet 2016. C’est le premier vice-Premier ministre, ministre de la santé, Paul Biyoghé Mba qui l’a présenté à Libreville. C’est un document de référence pour l’ensemble des interventions relatives au domaine de la santé au Gabon de 2017 à 2021.
« Le PNDS est désormais l’unique cadre référentiel des interventions en matière de santé », a déclaré Paul Biyoghé Mba. Selon lui, l’objectif général est d’améliorer l’état de santé et le bien-être des populations.
Le Plan national de développement sanitaire (PNDS) du Gabon est estimé à environ à 443 milliards de francs CFA. Il est programmé sur les cinq prochaines années. Il a été validé par les acteurs gabonais du secteur santé bien avant qu’il soit transmis à l’Etat.
Ledit plan a fait l’objet d’une analyse approfondie de la situation sanitaire du Gabon. Les avancées accomplies dans le secteur et les premières actions à effectuer d’ici 2017 ont été évoquées.
Les recommandations formulées dans ce document, sont basées sur plusieurs critères. La préparation, la surveillance et la riposte aux flambées épidémiques. Egalement la lutte contre les maladies non transmissibles, la lutte contre la mortalité infantile et contre les maladies infectieuses et parasitaires. La maladie et le renforcement du système sanitaire du pays étaient aussi à l’ordre du jour.
Le coordonnateur de ce plan, le Dr Jean-Juste Ngomo, a évoqué neuf axes stratégiques ayant pour cible différentes personnes. On peut citer les personnes généralement qualifiées de vulnérables, comme la mère, l’enfant, l’adolescent, les personnes jeunes et âgées.
La santé n’a pas de prix. Le Gabon a choisi la prévention. Un bonne manière pour éviter les lourdes dépense provoquées par les maladies. C’est également une façon de développer le pays avec une population en bonne santé.
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