« Les oncologues ont besoin de l’immunohistochimie pour assurer le traitement de nombreux cancers », a déclaré le PDG de l’ASCP, Blair Holladay (PhD, MASCP, SCT(ASCP)CM).
Pour le PDG de l’ASCP, « ce partenariat nous permettra de réaliser des dépistages et des diagnostics rapides, précis et de haute qualité, et ainsi d’élever les soins administrés dans le pays à un niveau supérieur. » De son côté, Sally Cowal, vice-présidente générale pour la lutte mondiale contre le cancer au sein de l’ACS, « la Société américaine de lutte contre le cancer est heureuse de contribuer à cette initiative visant à mettre des traitements de haute qualité à la disposition des personnes atteintes de cancer en Éthiopie et en Tanzanie. Nous relèverons certains des plus grands défis auxquels sont confrontés les patients pour obtenir des soins de qualité contre le cancer ».
Environ 650 000 personnes en Afrique développent un cancer chaque année, et environ 510 000 personnes en meurent en raison des traitements limités. Plus d’un tiers des décès dus au cancer en Afrique concernent des cancers facilement évitables ou traitables, à condition qu’ils soient détectés suffisamment tôt.
« La qualité d’un traitement est directement liée à celle du système qui l’administre », a déclaré le Dr Harald Nusser, directeur de Novartis Social Business. « Nous ciblons, par le biais de nos financements incitatifs, les projets qui ont un impact sur les prestataires de soins de santé et qui soutiennent les patients dans leur parcours. Nous espérons que cette collaboration permettra de fournir aux patients atteints de cancer des diagnostics précoces et efficaces, et d’augmenter les chances d’améliorer les résultats sanitaires. »