L’ancien directeur d’Amnesty International en Afrique de l’Ouest Alioune Tine dit ses quatre vérités à MackySall, Président de la République du Sénégal.
L’honorable député Moussa Diarra écrit une lettre ouverte pour l’adresser à Emmanuel Macron, président de la République française. C’est pour décrier la mauvaise politique française au Mali.
On m’a fait du tort pour dire des contre vérité ». C’est ce qu’a déclaré hier, Aliou Sall, le frère du président sénégalais, en marge d’une rencontre avec la presse nationale et internationale. Il annonce qu’il va ester en justice contre BBC .
C’était trop beau pour continuer à être vrai ! Ces militaires qui dansent avec des manifestants devant les portes de leur QG, alors que El Béchir soupirait ses dernières inspirations à la tête du Soudan.
« Si les conclusions des Assises nationales et de la Cnri étaient appliquées, le Sénégal serait en paix avec lui-même ».
Le Président de la République gabonaise Ali Bongo Odimba a reçu ce 3 juin 2019 Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Selon un journal sénégalais, Les Echos, qui a repris une information de BBC qu’Aliou Sall recevait 25.000 dollars (environ 13 750 000FCfa) par mois comme consultant, alors qu’il ne connaît rien au secteur. En outre dans une enquête révélée par la BBC, BP achète la participation restante de Timis à 250 millions de dollars (125 milliards FCfa) et s’engage à lui verser entre 9 et 12 milliards de dollars (environ 4 950 000 000000F Cfa) d’ici 40 ans.
Il convient de rappeler tout d’abord que les dispositions combinées des articles 27 et 154 de la Constitution du 7 mai 2010 qui garantissent le principe de l’alternance démocratique, empêchent le Président de la République de s’octroyer un troisième mandat. Compte tenu de tout cela, le professeur Togba Zogbélémou a soutenu que « tout mandat supplémentaire ou glissement de mandat en cours serait, en l’état actuel du droit positif, inconstitutionnel ».
Dans un rapport, l’ONG dénonce notamment l’application de la peine de mort, ainsi que certaines dérives dans le système judiciaire du pays.
Les acteurs politiques sénégalais s’engagent ensemble à trouver un consensus idéal, même si une frange de l’opposition refuse tout de même à y répondre au dialogue. Le chef de l’Etat Sénégalais,Macky Sall en a fait une conviction.
