Sans un homme de grande expérience et capable de remettre ce vaste pays d’Afrique centrale sur les rails, la survie de la République Démocratique du Congo comme Etat nation est sérieusement menacée.
Pays cherche son président, clame tout haut le peuple congolais de la RDC. Même si leur tenue est en permanence renvoyée aux calendes grecques, les Congolais fondent beaucoup d’espoirs dans les élections présidentielles à venir.
Conscients des nombreux défis qui se dressent à eux, les Congolais n’entendent pas rater une si belle occasion pour remettre sur les rails leur beau pays.
« C’est une élection aux enjeux rarement égalés. Ou ça passe, ou ça casse. Cette fois-ci nous voulons voir un président issu des cercles que les Congolais maitrisent prendre les rênes du pouvoir, un président de grande expérience qui saura résoudre nos problèmes », se disent-ils.
Pendant ce temps, les défis sont immenses. Le pays est exposé à une balkanisation qui ne dit pas son nom. Les paramètres macroéconomiques sont au rouge. La balance de paiement est en déséquilibre et le tissu économique n’est guère reluisant marquée par une érosion monétaire et une inflation non maitrisées. Les bailleurs des fonds sont sceptiques et les investisseurs étrangers se montrent frileux dans un environnement volatile et non rassurant.
Le tissu social est complètement délabré. L’accès aux soins de santé et à une éducation de qualité sont hors de portée pour la majorité des Congolais qui vivent en deçà d’un dollar par jour.
Et pour se remettre sur les rails, la RDC a besoin d’un président qui maitrise ces enjeux et qui doit surtout justifier le profil du métier.
La politique, art de conduire la cité, a ses règles. Elle n’est pas à confondre avec le populisme béant et rampant qui obnubile et maintient en captivité le mental des populations.
En presque 50 ans d’indépendance, le peuple congolais a beaucoup souffert de ce populisme stérile et contre-productif. Les exemples sont légion.
Et il ne faut pas plus de victimes que ça pour que les Congolais se rendent à l’évidence et se mettent en ordre de bataille pour exorciser leur misère.
Pendant longtemps, ils ont abandonné le pays aux mains de dirigeants qui ont excellé en tout sauf à la satisfaction des attentes les plus légitimes des populations.
Dans l’attente de ces joutes présidentielles, les jeux de l’ombre se sont activés à un rythme effréné. Les curricula vitae se bousculent sous les costumes.
Sur qui va être jeté le dévolu pour conduire ce riche pays vers une gouvernance vectrice d’espoirs et de lendemains meilleurs ?
Depuis l’indépendance, les Congolais se sont vus privés de leur destin. Cette fois, ils sont mobilisés et se disent prêts à conjurer le sort pour faire le bon choix.
A en croire un certain nombre d’indices étayés par des sources proches des milieux des institutions financières internationales, un nom semble sortir du lot et toutes les tractations se focalisent ainsi autour de cette personnalité, à savoir le Professeur Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir.
Qui est cet homme qui concentre sur lui tous les espoirs d’un peuple meurtri, ce patriote qui fait désormais autorité et a su s’imposer en si peu de temps sur l’échiquier politique national ?
Rentré dans son pays, après une brillante carrière internationale à Washington DC au siège du FMI, le 3 octobre 2015, Freddy Matungulu se livre à une activité débordante.
S’il ne consulte pas, au moins écoute-il énormément et s’accorde le temps nécessaire pour exposer sa vision sur le Congo de demain.
Nommé Ministre des Finances en 2001, Freddy Matungulu n’avait pas hésité à rendre le tablier en 2003, après avoir sorti la RDC des affres de l’hyperinflation.
Une manière pour l’ancien argentier de crier haro sur les abus dans la gestion des ressources publiques au sein du gouvernement.
En Juillet 2003, il réintègre le Fonds monétaire international où il assure les fonctions de Chef d’équipe pays/Chef de mission pour la conception et le suivi de programmes économiques de divers pays ayant des accords d’assistance financière et technique avec le FMI.
A ce titre, Freddy Matungulu dirige de 2003 à 2014 une trentaine de missions du FMI chargées de conduire des discussions sur les politiques économiques de nombreux pays membres de cette grande institution de Bretton Woods, y compris la République du Niger, la République du Benin, l’Union des Comores, la République du Congo (Brazzaville) et le Commonwealth des Bahamas. Pendant la même période, Freddy Matungulu participe aussi à des sessions de renégociation de dettes souveraines au Club de Paris, en France.
En décembre 2014, Freddy Matungulu prend une retraite anticipée du FMI pour s’affranchir de l’obligation de réserve que lui imposaient ses fonctions au sein de cette institution, ce qui lui permet de retrouver la liberté d’expression et d’actions grâce à laquelle, en tant que citoyen congolais, il peut désormais apporter sa quote-part aux efforts visant le mieux-être de son pays.
A compter de mai 2015, Freddy Matungulu crée le parti politique : CONGO NA BISO.
Il est un éminent membre des forces politiques et sociales acquises au changement et participe activement à la recherche des voies et moyens pour sortir le pays de la crise.
L’acuité de la crise institutionnelle actuelle du reste marquée par un recul prononcé de la croissance en RDC met au grand jour la complexité du jeu politique susceptible d’ouvrir la voie à l’alternance.
Les différents acteurs politiques doivent tourner le dos aux schémas battus pour redonner de l’espoir au pays. Freddy Matungulu fait partie du carré d’As qui incarne le mieux l’aspiration du peuple congolais pour un nouveau leadership politique intègre, respectueux du bien et des deniers publics, et porteur d’un projet de société conséquent.