Bambino village s’implante à Okolassi

Partagez!

L’inauguration de sa nouvelle école à Okolassi, dans le 1er arrondissement de Ntoum, a eu lieu samedi 15 juin 2019 en  présence du 1er ministre gabonais, Julien Nkoghe Bekale. En venant s’installer à Okolassi la nouvelle agglomération urbaine de la CNSS, cette initiative

 rentre dans la nouvelle vision qui anime sa fondatrice Pascale Milan de s’implanter sur l’ensemble du territoire gabonais.

L’honneur ne peut  être qu’immense pour le Premier ministre de voir les tout premiers jalons de ce groupe scolaire de référence prendre racine dans sa localité entendu qu’Okolassi fait partie du 1er siège du 1er arrondissement de la commune de Ntoum, son fief électoral.

« C’est une grande première. Notre intention est de montrer qu’on peut vivre à l’intérieur du pays et bénéficier des bonnes conditions d’apprentissage comme ceux qui sont à Libreville », a déclaré la fondatrice, Pascale Milan.

Le Premier ministre, fils du terroir, pour sa part n’a pas tari d’éloges et n’a pas du tout boudé son plaisir . « Nous ne pouvons que nous réjouir d’être la première localité à accueillir Bambino village qui est un fleuron en matière d’éducation »,  a-t-il déclaré.

Avant d’ajouter:  « C’est vraiment l’école pour tous et la matérialisation de l’égalité des chances qui va être profitable aux enfants de la localité et ceux de Ntoum ».

Les avantages sont énormes pour les ressortissants des localités environnantes et ceux vivant dans l’hinterland de Ntoum, car les prix ont été étudiés et adaptés à l’environnement. Comparés aux tarifs de libreville,  les prix pratiqués à Okolassi sont réduits de moitié et donc accessibles aux populations de la zone.

Dans son dernier mot de circonstance, le Premier  ministre a invité les autorités communales de Ntoum et les populations à bien accueillir les initiateurs qui ont pensé mettre à leur portée une structure de qualité à moindre coût.

Lire aussi Michel Dirat et Bambino Village scellent un partenariat

Comments

commentaires

Actualité africaine

About the Author

Abdoulaye TRAORE
Correspondant Africtelegraph au Burkina.

Laisser un commentaire