La première femme présidente du Brésil vit dans l’impasse, parce qu’elle a été reconnue coupable. Elle aurait maquillé les comptes publics pour assurer sa réélection.
Ainsi, sa destitution relève d’un «coup d’Etat parlementaire». Pour Dilma Rousseff, «le Sénat a pris une décision qui entre dans l’histoire des grandes injustices ». Elle a fait comprendre, qu’il a commis un « coup d’Etat parlementaire».
La présidente du Brésil Dilma Rousseff promet de revenir en force pour vaincre le signe indien. «Il ne s’agit pas d’un adieu mais d’un “à bientôt”», a-t-elle déclaré.
Elle a été destituée, cette semaine, précisément, le mercredi. Pour sa part, le gouvernement vénézuélien du président socialiste Nicolas Maduro a indiqué le gel des relations diplomatiques de son pays avec le Brésil et le rappel de son Ambassadeur, condamnant «énergiquement» la destitution de la présidente brésilienne.
Il a été «décidé de retirer définitivement (notre) Ambassadeur dans la République fédérale du Brésil et de geler nos relations politiques et diplomatiques avec le gouvernement issu de ce coup parlementaire», lit-on à travers un communiqué que le ministre des affaires étrangères de Venezuela a signé.
Sur les 81 parlementaires, 61 ont voté pour la destitution de la dirigeante de gauche, élue en 2010 à la tête du plus grand pays d’Amérique latine. Aux dernières nouvelles, elle fait un recours au
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