C’est un impératif pour le Sénégal de respecter le protocole de la CEDEAO. En conséquence, les parlementaires sénégalais se sont réunis avant-hier, pour se pencher sur le code électoral, en vue des législatives prévues le 02 juillet 2017 au Sénégal.
Car, passer la date du 2 janvier 2017, le Sénégal allait être frappé par le protocole de la CEDEAO qui interdit la modification des textes à six mois des élections. Et puisque le Sénégal compte organiser des élections législatives le 2 juillet 2017, le 2 janvier 2017 était donc la date limite des six mois pour respecter les délais de la CEDEAO. C’est la raison pour laquelle, ce projet de loi a été discuté lundi, en plénière à l’Assemblée nationale Sénégalaise.
Les députés ont passé en revue ce projet, pendant au moins huit heures d’horloge. Tout porte à croire que, les autorités de ce pays sauront respecter les normes de la CEDEAO, car ce pays reste parmi les modèles de démocratie en Afrique.
Les Sénégalais de la diaspora auront désormais leurs députés selon le nouveau code électoral. Les 15 députés de la diaspora seront donc élus dès les prochaines élections législatives.
Malgré tout, les opposants continueront toujours de manifester leur colère comme, dans de nombreux pays d’Afrique. Pour plusieurs pays africains, il est difficile de faire respecter les normes de la CEDEAO.
Les dirigeants décident eux-même sans aucune concertation. En réalité, nombreux dirigeants africains ont soif du pouvoir. Tous pensent que le pouvoir est une vie; alors que Dieu seul détient ce pouvoir.
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