Jean Ping, le candidat à l’élection présidentielle du Gabon, qui refusait de reconnaître les résultats promulgués par la Cour Constitutionnelle, est mal au point. Après l’échec de Nairobi, il souhaite que le parlement européen prenne des mesures ciblées contre le Gabon. Mais a-t-il réellement une chance d’y arriver?
Rien n’est moins sûr. L’union européenne a bien trop d’intérêts au Gabon. Et le parlement européen le sait. De plus, dans l’entourage de Jean Ping, on parle d’un monsieur fatigué, découragé et malade. Depuis plusieurs mois, il n’a plus organisé une seule manifestation de contestation du régime en place.
De plus, ses ressources financières se sont considérablement taries, et ses sponsors lui demandent des comptes. Ses cyber activistes ont déserté la toile, et on ne retrouve plus les messages de ses robots qui twittaient à fond pendant la campagne.
Le jugement récent de l’un de ses partisans pour trouble à l’ordre public n’a pas levé les foules: ils étaient cinq au tribunal à soutenir le contestataire de la CAN. Autant dire que ses soutiens sont plus démobilisés que jamais.
Les actions que Jean Ping et ses partisans ont tenté de mener pour boycotter la Coupe d’Afrique des Nations n’ont eu aucun impact: aucune raisonnance sur le plan national, ni même international, alors que toutes les caméras du monde sont présentes.
Pour beaucoup d’observateurs, Jean Ping a abandonné le combat qui devait le mener à la tête de l’Etat. A 74 ans, Jean Ping sait qu’il n’a plus aucune chance de se présenter à une élection présidentielle. Et on pense déjà à préparer un nouveau chef de file de l’opposition pour les prochaines élections. A Dakar, Frank Ping tentait le mois dernier de négocier un accord. Il souhaite une amnistie pour lui et sa famille sur l’affaire de détournements de fonds publics avec Synohydro.
Une perte de leadership…
En outre, Alexandre Barro Chambrier, son plus fidèle soutient, cherche désormais à se rapprocher du pouvoir en place dans le cadre du dialogue national. Il doit cependant sauver la face. Héritage et modernité n’a plus de repères. Tous ses membres sont d’anciens pédégistes.
Enfin, depuis que Guy Nzouba Ndama, l’ancien président de l’assemblée nationale, a quitté la capitale pour se réfugier dans son village, plus personne ne dirige véritablement le parti.
C’est pas étonnant de que ce genre de publications apparaissent quand on sait que le régime en place du Gabon investi plus de 300 millions à jeune Afrique pour sa pub pourquoi pas ces vendu eux, un journal heureux,une nation malheureusement. Près de 3 milliard de nos francs pour les artistes à l’ouverture de votre can un divertissement de 30 minutes alors que les tables bancs des certains ets scolaire qui avoisine 500 millions le gouvernement est incapable d’acheter et vous Gabonais inconsciemment vous juger positif ce ce genre d’action de votre président