Le chef de l’opposition mozambicaine, Afonso Dhlakama, rumine une colère noire. Il hausse le ton, en indexant ouvertement les forces gouvernementales qui, d’après lui violent le cessez-le-feu proclamé fin décembre par sa branche armée.
Pour Afonso Dhlakama, « l’armée tend des embuscades, kidnappe et met en prison les rebelles et les sympathisants de la Renamo».
D’après lui, il y a eu des morts. Le chef de l’opposition mozambicaine poursuit ses propos en déplorant les missions de reconnaissance menées par les forces gouvernementales dans les environs.
L’opposant se plaint de la présence de l’armée, d’où son interrogation : « Que viennent-ils faire là ? Ils comptent encore lancer des opérations pour venir tuer Dhlakama? En conséquence, il exige du parti au pouvoir depuis quarante et un ans au Mozambique, un meilleur partage du pouvoir.
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