Peut-on parler d’une grande évolution dans le projet du Central Africain Backborne 4 (CAB4) ? C’est un projet qui a été présenté au ministre d’Etat du Gabon à l’Economie numérique pour accroître la couverture géographique de l’utilisation des réseaux optiques.
En effet, il s’agit d’une exception gabonaise qui privilégie le contenu du projet. Alors que beaucoup de gens avaient critiqué le début de ces travaux, aujourd’hui, ce sont 1100 kilomètres de fibre optique, d’une part, et une interconnexion de 26 villes avec le reste du monde.
Il est vrai qu’on ne peut négliger la formation : ce sont des volets qui accompagnent la fibre optique pour assurer le suivi et arriver à la même conclusion qu’il y a bel et bien quelques avancées significatives au niveau de TIC. Mais le vrai problème est que les nouvelles technologies de l’information font travailler une moindre ressource en main-d’oeuvre.
C’est le seul petit tableau qui inquiète. Et on peut en finir avec cette préférence en diversifiant les activités dans ces secteurs qui se transforment chaque jour. Le CAB4 n’est pas au bout du tunnel; au contraire.