Un sommet réunissant des dirigeants d’Oracle en Afrique a été organisé à l’île Maurice, pour faire connaître et souligner l’impact des solutions Oracle Cloud sur la croissance des entreprises.
L’échange des meilleures pratiques et l’obtention d’avis éclairés de la part des plus grands stratèges de l’informatique en nuage constituaient le principal objectif des clients qui ont pris part au sommet des dirigeants d’Oracle en Afrique, un événement de deux jours organisé à l’île Maurice et qui s’est terminé aujourd’hui.
Des dizaines de clients d’Oracle se sont réunis pour comprendre les différents aspects du processus d’adoption du cloud, notamment le renforcement des capacités, l’innovation, la sécurité et la capacité à exploiter l’Internet des objets pour favoriser la croissance des entreprises grâce aux solutions Oracle Cloud.
Comme l’a fait remarquer Janusz Naklicki, vice-président d’Oracle en Russie, Afrique et Europe centrale : « L’adoption du cloud en Afrique progresse rapidement. Les organisations ont pris conscience des avantages de cette architecture en termes de rapidité, de valeur et de retour sur investissement. L’Afrique est un marché prioritaire pour nous et ce sommet des dirigeants d’Afrique est le reflet de notre engagement à démontrer tout l’intérêt du cloud et à accompagner nos clients africains dans cette transition. »
Ce sommet de deux jours proposaient toutes sortes d’activités riches en informations, notamment des groupes de discussion, des témoignages de clients et des allocutions de la part de dirigeants d’Oracle, dont Janusz Naklicki, Cherian Varghese, chef de cluster d’Oracle pour l’Afrique subsaharienne et Deepak Mehra, vice-président d’Oracle et spécialiste de l’architecture en nuage.
Cherian Varghese a ajouté : « La technologie du cloud conduira sans aucun doute à une nouvelle phase de croissance pour les entreprises en Afrique, et grâce à notre plateforme Cloud entièrement intégrée qui analyse toutes les couches du nuage, nous sommes idéalement placés pour aider les PME, les grandes organisations et les gouvernements d’Afrique à mettre en place cette architecture. »