Brice Laccuche Alihanga a effectué cette semaine une visite de 5 jours en France afin de présenter l’AJEV et ses actions, lors d’une série de rencontres avec de hauts dirigeants français. Ce séjour a aussi été l’occasion pour le fondateur de l’AJEV de rétablir un dialogue apaisé avec les journalistes de l’Hexagone dans le traitement de l’actualité gabonaise.
Doter l’AJEV des meilleurs outils pour contribuer à la mise en place concrète de l’égalité des chances au Gabon
Le Président de l’AJEV a été reçu cette semaine par de nombreuses hautes personnalités du monde économique français avec lesquels il a échangé sur des questions majeures en termes de développement, telles que l’éducation, l’emploi, etc.
Au cours de ces rencontres, M. Brice Laccruche Alihanga a pu expliquer le modèle de l’AJEV, à travers sa structure, ses engagements et ses actions de terrain. Un modèle de solidarité participative unique en Afrique centrale, qui a suscité un vif intérêt auprès de ses interlocuteurs.
Plusieurs axes de collaboration potentielle ont vu le jour à l’occasion de ces rencontres dans l’objectif de les concrétiser à très court terme. Et notamment avec M. Laurent Cros, Directeur Général d’Agir pour l’école, une plateforme d’expérimentation de nouvelles méthodes d’apprentissage éducatives. Une problématique prioritaire pour l’AJEV qui entend promouvoir une éducation de qualité pour tous dès le plus jeune âge.
Toujours en matière d’éducation, l’autre enjeu majeur est le numérique, avec la problématique suivante : comment les nouvelles technologies peuvent contribuer à répondre aux besoins croissants de formation des populations africaines ? Un sujet passionnant qui a fait l’objet d’une discussion avec M. Alexandre Zapolsky, co-fondateur de LINAGORA et Président du Groupe spécial de travail « Export » au sein du Comité stratégique national de Département d’Etat Numérique. L’AJEV a ainsi pu faire un état des lieux des outils et solutions technologiques disponibles et adaptables sur le continent africain afin d’aider les jeunes à développer des compétences professionnelles.
S’agissant du fait de doter l’AJEV d’un laboratoire d’idée destiné à en faire une force de proposition auprès des institutions publiques, M. Brice Laccruche Alihanga a eu l’honneur de rencontrer M. Laurent Bigorgne, Directeur Général de l’Institut Montaigne, think tank français de référence crée par M. Claude Bébéar afin de répondre aux enjeux de compétitivité et de cohésion sociale. Leur expérience permettra à l’AJEV de consolider sa position comme acteur engagé en faveur du développement économique et sociale au Gabon.
Durant son séjour, le Président de l’AJEV a également eu l’occasion d‘échanger longuement avec M. Alexandre Vilgrain, Président du CIAN ; Mme Cécile Barry, Présidente du réseau de femmes entrepreneurs « Action’elles » ; M. Philippe Gautier, Directeur général de MEDEF International ; M. Pascal Lorot, Président, Institut Choiseul, ainsi qu’avec M. Jean-Pierre Cantegrit, Président du groupe d’amitié France-Afrique centrale.
M. Brice Laccruche Alihanga a donc clairement présenté l’objectif de cette visite en déclarant : « Ce que nous voulons à travers cette visite, c’est présenter le modèle de l’AJEV et braquer les projecteurs sur ces gabonais qui s’engagent individuellement pour l’intérêt général et le développement de leur pays».
Rétablir un dialogue sain et apaisé avec les médias français
Le voyage de M. Laccruche Alihanga a également été mis à profit pour faire la promotion de son dernier essai « L’Or Jeune – Plaidoyer pour la jeunesse gabonaise ». A cet effet, il a rencontré les journalistes des différents médias français (Radio, TV, et presse écrite) pour présenter sa vision du Gabon, mais aussi pour les inviter à évoquer le Gabon sous un autre prisme de la polémique politicienne.
« Les journalistes ne peuvent pas continuer à réduire l’actualité du Gabon à la précédente crise électorale qu’a connu le pays », a déclaré M. Laccruche Alihanga. Interpelant les journalistes sur le modèle de l’AJEV « qui apporte des solutions concrètes, de proximité, pour répondre aux besoins des populations locales », il entend proposer une autre voie. « Il y a au Gabon des jeunes motivés, qui veulent contribuer au développement de leur pays à leur niveau. Il faut également les mettre en lumière et ne pas contribuer à laisser germer des idées fatalistes. De ce point de vue, les médias ont aussi leur rôle à jouer pour ne pas véhiculer une vision catastrophiste, qui ne correspond en rien à la réalité, à travers leurs différents articles et reportages », ajoute-t-il.
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