Le Gabon dispose de nombreux atouts pour séduire les investisseurs. Une politique que, le président Ali Bongo Ondimba est en train de mener.
Les signaux positifs du gouvernement Gabonais sont visibles, partout dans le pays, y compris aux yeux des investisseurs étrangers. Ces derniers ne cessent d’applaudir les bienfaits du président Ali Bongo Ondimba.
Compte tenu de tout cela, des dignitaires des milieux économiques ont penché sur la question. C’était autour d’une rencontre organisé par le Club Afrique développement (CAD) et l’Union gabonaise de banque (UGB). Elle a tourné autour de la promotion des investissements et le développement du commerce extérieur au Gabon. C’était le 25 novembre dernier.
Un débat alléchant, parce que la rencontre a regroupé des experts de qualité en compagnie des investisseurs qui sont tous porteurs d’initiatives, en vue de faciliter les investissements au Gabon.
En tant que patron d’une banque citoyenne, Abdelaziz Yaaqoubi, Administrateur directeur général de l’UGB a fait comprendre que son entreprise apporte sa pierre à l’édifice. Il est d’avis qu’il faut la création de plusieurs opportunités de développement économique. En conséquence, il apprécie la promotion des investissements au Gabon.
Prenant part à la rencontre de Libreville, Madeleine Berre, a décliné l’énorme patrimoine naturel et minier dont dispose le Gabon. Selon elle, les mesures importantes que le gouvernement d’Ali Bongo Ondimba a prises sont à saluer à sa juste valeur. Parce que, dit-elle, le gouvernement a mis en place un bon système de cadre juridique et fiscal favorable.
Elle est d’avis que cette mesure a permis de contribuer efficacement à l’amélioration du climat des affaires.
« Il y a des succès et des mécanismes pour attirer les investisseurs étrangers », a indiqué pour sa part, Gagan Gupta. Il est le Directeur Général du groupe Olam Gabon. Ce dernier a assisté à la conférence de Libreville. Monsieur Olam Gabon compte beaucoup sur l’Etat, avant d’inviter les autorités Gabonaises à mener un dialogue sincère avec le secteur privé. Il pense que ce dialogue est une nécessité fondamentale. Il a fait savoir aussi, à travers ses explications, les facteurs administratifs, notamment la fiscalité qui obèrent encore le développement du secteur privé au Gabon.
En confirmant sa victoire d’une manière éclatante, le président Ali Bongo Ondimba attire davantage les investisseurs. C’est ce qui a permis de lever toutes les inquiétudes. Puisque l’homme fort du Gabon a engagé des réformes en sécurisant les recettes fiscales du pays.
« Nous devons soutenir toutes les initiatives visant à créer des conditions d’exploitation des opportunités d’investissement, à la hauteur des enjeux d’inclusion financière et de renforcement de la coopération économique entre opérateurs de divers Etats », a dit Boubker JAI, Directeur général du groupe Attijariwafa Bank.
Argumentant sa pensée, il a soutenu que c’est précisément dans cette perspective que le Club Afrique Développement a été créé. Le DG d’Attijariwafa Bank a promis son soutien sans faille aux autorités Gabonaises, surtout en matière de financement.
En tout cas, le gouvernement Gabonais développe positivement le pays en attirant davantage de nombreux investisseurs étrangers. Ils envahissent le pays.
Signalons que le CAD est une initiative issue de l’enthousiasme des participants aux quatre éditions du Forum International Afrique Développement organisé depuis 2010 par le Groupe Attijariwafa Bank. C’est une institution qui contribue positivement à la réflexion de la communauté des affaires, surtout en Afrique.
Ah vraiment mais le défaut les gabonais ne vé pas travaille le mais il y’a pas encore le gabonais qui aime Sa politiques tu peut pas investi dans un pays qu’il y’a le respect dans le milieu des travail en vers les responsable tu fait comme tu vé pas comme la direction té dise et la canonisation des poste cadre ce bien mais il y’a pas l’amour des travail il y’a manque à gagne pour entreprises