L’ANC lance un cri de détresse au Togo. C’est pour se douter des avancées démocratiques dans le pays. En conséquence, elle demande l’arbitrage de la CEDEAO.
En rapport avec sa demande, l’ANC dit s’interroger « sur le sort des avancées démocratiques à l’ordre du jour de la Communauté, notamment, la limitation du mandat présidentiel dans les pays de la sous-région, acceptée aujourd’hui par tous les Chefs d’Etat de la CEDEAO, à l’exception de Faure Gnassingbé qui, seul, refuse obstinément cette avancée » tel est le contenu du document.
Compte tenu de tout cela, l’ANC a lancé un vibrant appel à la CEDEAO pour demander son arbitrage dans les plus brefs délais.
Dans le contenu de la déclaration que nous avons reçu, elle invite les chefs d’Etat de la CEDEAO à pousser Faure Gnassingbé revoir sa position. La requête est contenue dans une déclaration publiée par le parti que dirige Jean-Pierre Fabre.
La demande du parti orange survient à un moment où Faure est pressenti pour être désigné au poste du prochain président de la CEDEAO.