Le site français d’information, dans un article récemment publié parle d’un montage politico-militaire peaufiné par le procureur de la Cour Pénal internationale (CPI) de l’époque. Luis Moreno Ocampo aurait travaillé en intelligence avec les gouvernements Français et Ivoirien.
Médipart fait savoir qu’au moment de l’arrestation de Laurent Gbagbo, la Cour Pénale Internationale n’avais pas de base légale. La Côte d’Ivoire n’avait pas ratifié jusque là le traité de Rome. Et pourtant, cela n’a pas empêché le procureur Luis Moreno Ocampo de l’arrêter et d’ordonner son transfère à la Haye.
Le journal indique que le procureur Luis Moreno Ocampo, avec la complicité de certains diplomates français, avait pesé de tout son poids auprès du président Ouattara afin que Laurent Gbagbo ne soit pas relâché.
Le médias français parle plutôt d’un montage politico-judiciaire dont le principal acteur est Luis Moreno Ocampo. Médiapart s’appuie sur un document confidentiel du Quay d’Orsay, le ministère français des affaires étrangères, pour soutenir la thèse d’un montage.
Pour médiapart, la CPI a violé la loi en outrepassant ses prérogatives et, en collaborant avec d’autres acteurs. D’où, l’interrogation sur l’impartialité même de la justice internationale.
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