Plus rien ne nous étonne: l’ancien 4e adjoint n’est pas l’actuel maire central à plus d’égards. Malgré les déclarations de bonnes intentions, la gestion des hommes et les mille dossiers de la municipalité effrayeront-ils l’homme ou l’assagiront ?
Ce n’est plus un coup de bluff, Léandre ZUE a eu plus de voix pour l’emporter. C’est le grand retour accompagné des formules incantatoires pour sauver la mairie de l’insalubrité; toutes choses que l’on répète à l’envi. L’heure est au travail. Il n’est pas parti bourlinguer loin de la ville, il préserve le domaine municipal pour ne pas penser à l’Auberge espagnole.
Primo: l’insalubrité, Incontestablement, les poubelles avant d’attraper le début d’avant le débat.
Deuxio: Ce n’est pas qu’il n’aime pas les trottoirs, il ne change pas de trajectoire: « Libérez les trottoirs! ». Est ce qu’il avait été prétentieux ou trop dur? Il en a pris conscience. Va-t-il s’y désengager? A-t-il d’autres perspectives ou des champs possibles? La mise en acte connaîtra-t-elle des reports? Cinq questions qui feront qu’il ne sera plus le même.
Ce qu’on ne vous a pas dit: Léandre Zué est en plein émerveillement. Doué pour le terrain, les changements de statut sont aussi des changements de vie. D’un côté, les syndicats deviennent de plus en plus exigeants quant aux salaires, de l’autre côté l’investissement en termes de visibilité d’AVERDA, d’AGLI, etc. doivent prouver ce désir de réalisation des projets de la ville comme travailleurs ou entreprises méritent la confiance du Chef.
Du coup, loin de reproduire ce schéma de travail court pour une vie longue, il va franchir le pas parce que le sursis est de courte durée. En dehors des performances surprenantes des locales, l’homme qui sait qu’il est, doit ménager sa monture à chaque épreuve pour aller loin.
Il n’y a aucune raison de ne pas regarder l’avenir avec confiance. Il est travailleur, connaît la nature humaine, c’est pourquoi le « patron » en a fait un homme de confiance, l’un des grands espoirs et un courageux. Voilà qui font de lui la meilleure preuve qu’il n’inquiéterait pas les hautes instances du parti, avant de se plonger dans les brûlants dossiers de la ville de Libreville.
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