L’ancien président français Nicolas Sarkozy a maille à partir avec la justice de son pays. Il aurait fait financer sa campagne électorale victorieuse par le défunt président libyen, Mouhammar Kadhafi, dont pourtant il a largement contribué à la liquidation.
Comme quoi, Sarko serait mouillé dans une affaire de corruption. Le même mal secoue le Brésil, dont l’ancien homme fort est écroué à ce sujet. Aux Etats-Unis d’Amérique, le fameux président de cette fédération, Donald Trump, serait parvenu au pouvoir grâce, en partie, à l’Etat russe. Ce qui suppose un parfum de corruption.
Au Sénégal, le fils de l’ancien président Wade, Karim, a été obligé à l’exil pour une condamnation sous l’accusation de détournement des deniers publics. Ce qui suppose toute une chaîne de corruption. Depuis 2012, ils sont plus d’une vingtaine dignitaires de l’ancien régime a été accusé du même mal.
Même le frangin de l’actuel homme fort du Sénégal, Macky, est indexé de s’être enrichi, illicitement, grâce à la position plus que stratégique de son aîné. Alioune Sall est cité même dans la corruption pour l’obtention de licences d’exploitation du pétrole et du gaz découverts au Sénégal.
Comme quoi, la corruption est avant tout un mal d’en haut.