« Si les conclusions des Assises nationales et de la Cnri étaient appliquées, le Sénégal serait en paix avec lui-même ».
Ces mots sont du professeur Abdoulaye Bathily qui d’après lui « aucun travail de cette dimension n’a été fait pour que le Sénégal puisse rentrer dans l’histoire ».
Le dialogue national est lancé au Sénégal et les travaux débutent le 11 du mois en cours.
Installation de la commission cellulaire
La commission cellulaire a été installée pour conduire les travaux du dialogue. Laquelle est composée du Général à la retraite, Mamadou Niang, ancien Ministre de l’intérieur et ancien président de l’Observatoire National des Elections (Cnri), de Babacar Kanté, professeur titulaire des universités et ancien membre de l’Onel, Abdou Mazid Ndiaye, membre émérite de la société civile et du professeur Alioune Sall, ancien juge de la CEDEAO et ancien membre de la commission cellulaire ayant piloté les travaux qui ont abouti à la création de la CENA (Commission Electorale Nationale Autonome).
« Le Sénégal serait en paix, si les conclusions des Assises étaient appliquées »
« Les conclusions des assises nationales, celles de la Cnri, aucun travail de cette dimension n’a été fait pour que notre pays rentre dans son histoire », a dit le professeur Abdoulaye Bathily à travers notre micro. Pour le professeur Bathily, « si les conclusions des Assises nationales de la Cnri étaient appliquées, le Sénégal serait en paix avec lui-même, le Sénégal serait en paix avec soi-même, le Sénégal serait bien préparé pour son rôle dans le monde ». Abdoulaye Bathily est formel là-dessus. A l’en croire, les Assises nationales demeurent, par leurs conclusions, les principes qui les ont fondés.
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