Pénurie des devises au Cameroun: Les solutions du patronat Camerounais
Le groupement inter patronal du Cameroun propose trois mesures conservatoires d’urgence pour une sortie de crise.
Le groupement inter patronal du Cameroun propose trois mesures conservatoires d’urgence pour une sortie de crise.
Selon Le Nouveau Gabon, il est de plus en plus difficile pour les commerçants des pays de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (Cemac) de disposer de pièces de monnaie indispensables pour leurs transactions quotidiennes, surtout au Cameroun.
Depuis plusieurs mois, une crise des devises sévissait dans les pays de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC). Ce qui avait inconvénient de plomber les transactions entre les États ou les opérateurs économiques, avec leurs partenaires ou leurs démembrements à l’étranger.
Le 03 juillet 2019 au cours d’une conférence de presse, l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des postes (ARCEP) du Gabon, en présence des…
« La dévaluation du franc cfa n’est pas à l’ordre du jour. » C’est la substance d’une annonce de la B.E.A.C faite en début d’année 2019 lorsque les rumeurs d’un possible processus de 1994 allaient dans tous les sens.
‘’Née en 2012, la compagnie Air Côte d’Ivoire peine à trouver son équilibre’’. Le constat est de Jeune Afrique dans son édition du 1er juillet…
L’accord de siège pour le bureau régional de la Banque Africaine de Développement a été signé le 2 juillet dans la capitale Camerounaise.
«En 2012, nous avions un endettement estimé à 2741 milliards soit 40% du PIB. Aujourd’hui, l’endettement dépasse 6 000 milliards de francs Cfa soit 62% du PIB», a déclaré Ousmane Sonko. Il l’a dit ce dimanche à l’Assemblée Nationale.
Un projet de monnaie commune nommé « ECO » a été élaboré à cet effet le 29 juin à Abuja par les dirigeants des pays membres de la communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest.
« Aujourd’hui, nous sommes dans une croissance continue. Notre taux de croissance augmente. On est passé de 1,8% à plus de 7%. Cela ne cesse d’augmenter’’. Telle est la conviction du ministre des finances et du budget Abdoulaye Daouda Diallo. Il répondait hier, aux questions des députés, en séance plénière sur la loi de finances rectificative.