Dette du Congo détenue par Pékin: Vers un programme d’aide du FMI
Le 29 avril dernier a été signé à Pékin un accord entre autorités chinoises et congolaises sur le rééchelonnement de la dette.
Le 29 avril dernier a été signé à Pékin un accord entre autorités chinoises et congolaises sur le rééchelonnement de la dette.
Depuis Maputo au Mozambique où il se trouvait dans le cadre de son premier voyage officiel en tant que président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass a annoncé que son groupe mobilisera un total de 700 millions de dollars soit plus de 400 milliards de FCFA pour aider les populations du Mozambique, du Malawi et du Zimbabwe à surmonter l’impact estimé du cyclone Idai.
Elles pourraient d’ici atteindre le bout du tunnel depuis que la Chine a accepté de restructurer la dette de ce pays.
La Livre soudanaise est plus utilisée que le Franc Fcfa par les populations de cette ville de l’extrême Nord centrafricaine.
La capitale du pays accueille les 11 et 14 juin prochain, les assemblées annuelles des conseils des gouverneurs de la Banque Africaine de développement et du Fonds africain de développement.
L’Assemblée nationale a adopté, le 3 mai, le projet de loi portant réglementation du secteur des hydrocarbures au Gabon.
Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, les dépenses militaires de l’Afrique se sont stabilisées à 40,6 milliards de dollars, près de 24 000 milliards de FCFA, soit une baisse de 8,4%. Selon le rapport du centre suédois de recherche en date du 29 avril, il s’agit de la plus forte baisse annuelle depuis 2014.
Le groupe agro-industriel singapourien Olam, a proposé de racheter complètement l’entreprise Dangote Flour Mills, une des trois entreprises du milliardaire nigérian Aliko Dangote qui sont cotées en bourse, au prix de 130 milliards de Nairas (362 millions $ au taux de change officiel, plus de 210 milliards de FCFA).
La 5ème convention des entreprises sino-africaines a lieu du 8 au 12 juin 2019 à Guangzhou city à Shanghai.
Selon l’agence ecofin qui cite une source anonyme proche du dossier, en Cote D’ivoire, le Conseil du Café-Cacao (CCC) a vendu à risque les contrats pour la saison 2018/2019 aux entreprises transnationales. Cela pour prévenir les défauts de paiement des exportateurs locaux enregistrés les deux saisons passées.