Croissance économique en Afrique: La Banque mondiale et le FMI pour des politiques génératrices de croissance
‘’Les dernières prévisions mondiales indiquent un léger ralentissement de l’activité économique, avec un risque de dégradation persistant.
‘’Les dernières prévisions mondiales indiquent un léger ralentissement de l’activité économique, avec un risque de dégradation persistant.
Le conseil d’administration de la Banque des États de l’Afrique Centrale(BEAC) réuni le 2 avril dernier à Douala a recommandé aux gouvernements de la sous-région leur interdiction dans les salles de jeux.
L’opération a été réalisée le week-end dernier par la police dans la province d’Hartbeespoort, au nord-ouest du pays.
Le Burkina Faso dispose d’une importante population de Pterocarpus erinaceus, communément appelé bois rose, notamment dans les régions du Sud-Ouest, des Hauts-Bassins et des Cascades. Il y a quelques jours, la rumeur avait enflé sur les réseaux sociaux sur un trafic de ce bois au pays des hommes intègres.
Pour contrer les effets du changement climatique sur le continent africain, la Banque mondiale prévoit d’investir 22,5 milliards USD soit plus de 13 000 milliards de FCFA sur les six années à venir.
Dans son dernier rapport sur les perspectives économiques mondiales publiées la semaine dernière, le Fonds monétaire International (FMI) a révisé à la baisse ses perspectives de croissance 2019 et 2020 pour l’Afrique subsaharienne.
En 2015 sous la transition au Burkina Faso, le nouveau code minier a institué un Fonds minier de Développement Local (FMDL) qui devait être alimenté par 20% des redevances proportionnelles collectées, liées à la valeur des produits extraits et/ou vendus, mais aussi par les titulaires de permis d’exploitation de mines et les bénéficiaires d’autorisation d’exploitation industrielle de substances de carrières à hauteur de 1% de leur chiffre d’affaire mensuel hors taxes ou de la valeur des produits extraits au cours du mois.
Les décisions du ministère des forêts et de l’environnement chargé du plan climat, font suite à une enquête sur les concessions de la société de sciage de Moanda, filiale Groupe Dejia qui opère dans la province du haut-Ogooué.
Dans un récent rapport, l’institut national de la statistique du Cameroun explique les raisons de ce déficit.
Le 12 mars 2019 dans la revue des marchés publics burkinabé, le Ministère des infrastructures rendait publique sa décision d’annulation de l’appel d’offre No 2018-0152/MI/SGSDM/SM-PI relatif aux 1000 km de pistes rurales au profit de 11 régions. Le Syndicat National des Professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics (SYNAT-BTP) s’est fendu d’une déclaration dans laquelle il déplore une annulation sans motif.