Malgré le recul de la faim dans le monde, la situation en Afrique subsaharienne demeure alarmante. Quand bien même, vingt pays en Afrique ont réduit leurs scores.
Les Etats doivent s’engager davantage pour combattre de manière définitive la faim, dans le monde. Mission difficile, certes, mais à force de s’exercer, tout est possible.
Dans les pays en développement, le niveau de la faim a diminué de 29% depuis 2000, si l’on en croit à la dernière étude qui vient de sortir.
D’ici à l’horizon 2030, la communauté internationale n’est pas encore sur la bonne voie. C’est du moins ce que constate l’Indice mondial de la faim (GHI) dans la livraison de sa dernière édition 2016, dont nous détenons un document. Ce qu’il faut encourager peut-être est la réduction des scores pour vingt pays, dont le Rwanda, le Cambodge etc….
Pour cette deuxième année consécutive, aucun pays en développement pour lesquels des données étaient disponibles n’était dans la catégorie « extrêmement alarmante. C’est la remarque de l’étude. Qu’à cela ne tienne, les Etats du monde doivent faire des efforts considérables pour éradiquer la faim. Ces Etats ne parviennent pas à atteindre le deuxième objectif de développement durable des Nations unies en 2030. Il s’agira d’éliminer la faim dans le monde.
Ce combat doit être mondial. Il faudra unir toutes les forces pour surmonter l’obstacle.
Un « obstacle pour atteindre la faim zéro est le manque de données complètes pour calculer les scores de l’indice pour les 13 pays. Un autre problème pourrait se poser ; il s’agit des conflits armés que l’on remarque un peu partout. Cela pourrait être un facteur bloquant. De même, les politiques aussi doivent améliorer leurs engagements politiques. À l’échelle régionale, l’Afrique au Sud du Sahara a le niveau de la faim le plus élevé, suivie de près par l’Asie du Sud », signale le rapport.
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