Olam Gabon et GSEZ ont démenti les rumeurs qui courent sur leur supposée reprise des activités de la SEEG.
L’Etat gabonais a mis fin à la convention qui le liait au groupe français Veolia à travers la Société d’Energie et d’Eau du Gabon (SEEG). Depuis l’annonce de ce divorce vendredi dernier par le ministre de l’Eau et de l’Energie, des rumeurs sont diffusées par certains médias et sur les réseaux sociaux sur une reprise des activités de la SEEG par le singapourien Olam via sa filiale gabonaise GSEZ. Informations que la société a démenties.
« Olam Gabon et GSEZ démentent fermement ces informations et confirment n’avoir aucunement l’intention d’opérer dans le secteur de la distribution d’eau et d’électricité au Gabon ». On peut lire dans le communiqué daté du 18 février 2018 dont nous détenons copie.
Le groupe Olam qui développe ses activités au Gabon à travers un partenariat public – privé avec l’Etat gabonais au profit des populations, suscite de l’intérêt. L’entreprise est devenue le premier employeur privé au Gabon. Ses détracteurs n’ayant plus d’arguments pour l’attaquer, multiplient des stratégies. Et, tout est permis. Du genre : « Olam va acheter la SEEG ». C’est vraiment rigolo pour des gens qui n’ont rien compris.