La journée citoyenne de samedi 7 avril 2018 a une fois de plus permis à la Fondation Sylvia Bongo Ondimba de manifester son ancrage en matière de réhabilitation et d’assainissement des infrastructures pour le bien-être de la communauté éducative.
Pour cette fois-ci, le tour est venu à l’école publique ENS B de bénéficier d’un lifting complet.
Pour marquer leur forte adhésion à cet engagement solidaire, cette initiative a connu la participation effective d’une délégation de femmes de renom parmi lesquelles Mesdames Maganga Moussavou, Nadine Anguillet, Rose Christiane Ossouka Raponda, respectivement épouse du vice-président de la République, ministre de l’Education nationale et maire de Libreville.
L’association des épouses de membres du gouvernement et d’autres partenaires comme Agli et Jardigab n’étaient pas en reste et ont également mis les mains dans le cambouis.
Bruits de pelles, râteaux, balais, pioches et cliquetis des débroussailleuses ont résonné toute la matinée dans une ambiance conviviale et dans la gaité de cœur.
Au-delà d’une initiative ponctuelle, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba entend s’inscrire dans une vision plutôt globale qui s’adosse sur un plaidoyer en faveur de la réhabilitation et de la salubrité des écoles publiques de façon durable.
La mairesse de Libreville sur le terrain
Dans cette optique, à la Fondation on aura bien compris que « la sensibilisation de la population sur l’engagement civique et la nécessité de prendre soin de notre environnement » constitue un pan important et un axe stratégique majeur.
C’est en lien avec cette vision que sous l’égide de la Fondation de la Première dame, l’école publique ENS B servira dans un proche avenir de cadre pour le lancement d’une campagne de sensibilisation autour du concept « J’aime mon école et j’en prends soin ».
L’objectif recherché n’est rien d’autre que celui de développer une conscience citoyenne au sein du milieu scolaire, sensibiliser la population sur la sauvegarde de l’environnement par le respect de certaines valeurs et de règles de bonnes pratiques.
Sur ce pan de la sensibilisation justement, l’on est en droit d’attendre beaucoup du ministère de l’Education pour qu’effectivement la salubrité et l’assainissement des écoles publiques deviennent une réalité quotidienne et durable.
Que vivement, les principaux acteurs dans ce secteur s’engagent pour tordre complètement le cou aux vieux démons et au spectacle désolant des montagnes d’herbes, des murs défraichis, des sachets qui jonchent à même le sol et surtout de l’inexistence des poubelles qui constituent le lot quotidien dans presque l’ensemble des établissements publics. Tout un challenge !
Notons que dans la foulée, l’ensemble du périmètre immédiat de depuis l’ENSET et derrière l’Ecole normale supérieure qui croulait sous des montagnes d’ordures a également bénéficié de cette opération coup de pioche. Les poubelles ont été dégagées et les rues ont maintenant fière allure.
Comme de tradition, pour marquer d’une empreinte indélébile leur passage à l’école publique ENS B, les membres de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba ont planté un « terminalia mantaly », un arbre parasol, symbole de l’unité et de solidarité.
