Dur d’être un enfant au  Tchad. Car, les enfants travaillent péniblement pour gagner leur vie, sans aucune amélioration.

Force est de constater que, le travail des enfants de moins de 14 ans est une réalité qu’on ne peut ignorer. Naturellement, dans plusieurs pays africains, le constat est le même. Mais, ce qui se passe au Tchad laisse à désirer. Personne ne peut expliquer cette situation douloureuse de ses enfants. Ils sont trop fatigués et ne bénéficient d’aucun soutien en provenance des autorités étatiques.

Pendant ce temps, les politiques pillent les ressources du pays au détriment des populations. Au même moment, les enfants du pays souffrent en travaillant dans des conditions difficiles. Pour qu’ils puissent survivre, ces enfants sont obligés  de faire des travaux pénibles pour assister leurs parents dans les charges familiales. Lamentable !

Concasseurs, ramasseurs des briques, ″apprentis car‶, vendeurs à la sauvette ou ambulants, travailleuses de sexe, ces enfants font face à des conditions de vie très difficiles. Un spectacle désolant pour un étranger qui foule le sol tchadien. Dur !Dur !

Les enfants tchadiens n’ont aucun salaire. Pour gagner leur vie, ils peuvent toucher entre 15.000 et 25.000 francs CFA. Dans le langage courant, la fatigue est ainsi comprise comme un « État résultant d’un fonctionnement excessif (d’un organe, d’un organisme) et qui se traduit par une diminution du pouvoir fonctionnel, généralement accompagnée d’une sensation caractéristique (sentiment de fatigue) : fatigue musculaire, … légère fatigue, grande fatigue, extrême fatigue. Ce qui entraine lassitude, épuisement, éreintement, exténuation, harassement, surmenage ».

Mais aussi « diminution de la résistance mécanique d’un matériau : ébranlement de la mâture d’un navire sous l’effet du vent, de la mer.

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