Chadi Moukarim (PDG) a été élu maire du 5ème arrondissement de Libreville le dimanche 10 février.
Son élection sonne comme un véritable ouf de soulagement pour les nombreux soutiens qu’il compte au sein de l’arrondissement et au-delà dans les communes sœurs de Libreville.
La contestation en amont de son élection initiée par quelques militants extrémistes de la base n’aura finalement été qu’une tempête dans un verre d’eau.
Pour la trentaine des militants contestataires, la désignation du maire élu comme candidat à ce poste aurait transgressé les orientations du parti.
Une opinion quasi minoritaire qui n’a pas du tout rencontré l’avis des conseillers PDGistes, ayant constitué le collège électoral, qui ont fait bloc autour de leur candidat qu’ils ont finalement conduit à la victoire finale sans vraiment trembler.
Davy Gatien Ovono Obiang (PDG) et Juvenal Roblex Ondo (SDG), complètent le trio de nouveaux dirigeants du 5ème arrondissement en qualité respectivement de 1er et 2ème Maire adjoint.
Dans son message cueilli à vif, le nouvel élu se montre pressé de mouiller les maillots pour soulager et rencontrer les attentes de ses administrés.
« L’heure est au travail ; il nous reste à démontrer qu’étant jeunes, nous sommes les principaux acteurs capables de transformer la vision du chef de l’Etat en actions et réalisations au bénéfice du plus grand nombre », voici le cap tel qu’indiqué par Chadi Moukarim et son équipe.
Pour le trio dirigeant du 5ème, la voirie, l’autonomisation des jeunes via des solutions innovantes ou la question de salubrité dans leur arrondissement trouveront un large écho à court, moyen et long terme conformément aux axes de leur offre.
On ne construit rien de viable sur fond de procès d’intention.
« Le plus important reste l’efficacité dans son action ; du coup, le mieux serait de le juger au pied du mur ; le reste n’est qu’ergoteries et distractions », s’insurge un notable du quartier.
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