Au Mali, les conflits sont loin de prendre fin. En tout cas, les djihadistes ont fait parler d’eux. Ils ont tendu un piège à quatre soldats Maliens. Ils ont trouvé la mort, à la suite de cette attaque.
Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, a décrété un deuil national de trois jours. C’est pour compatir la douleur avec les familles de soldats tués par des terroristes.
La situation semble particulièrement se détériorer dans le centre du Mali, aux confins du Burkina Faso et du Niger. Les autorités Maliennes ont du mal à sauver la face, parce qu’elles ne savent pas la véritable solution de ce mal. Les groupes djihadistes dictent toujours leur loi dans cette zone.
A tout moment, ils mènent des actions pour semer la quiétude des soldats maliens. La situation est plus grave. Pendant ce temps, les populations maliennes ne savent même plus quel chemin emprunter à cause des djihadistes. Avec leur sale besogne, ils ont tué quatre soldats maliens.
Ainsi, un deuil national de trois jours a été décrété sur l’ensemble du territoire national. Il a débuté lundi. C’est pour, non compatir la douleur avec les familles des victimes, mais aussi des soldats maliens. C’est du moins, un communiqué qui est apparu sur le compte twitter officiel de la présidence de la république.
Les faits se sont déroulés le dimanche 28 janvier, à Menaka. C’est un endroit qui se situe dans le nord du Mali. Pour IBK, « ce qui est sûr, c’est que ces gens savent ». En raison de la mort des soldats maliens, Ibrahim Boubacar Keïta s’est vu obligé de renoncer à son voyage d’Addis-Abeba. « La montée en puissance réelle du G5 Sahel » et de sa force conjointe, ainsi que la « détermination farouche » de nos forces armées maliennes « les a rendus fous », a déclaré IBK.