Le président français, Emmanuel Macron, est formel dans ses propos. Il a fait comprendre qu’il n’est plus possible que son pays accueille tout le monde. Il se prononçait sur l’immigration.
« Que valent les succès s’ils ne sont que ceux de quelques-uns », a dit Emmanuel Macron. Des propos qu’il a tenus, dans son discours de fin d’année. Il a décidé de combattre l’immigration, ce phénomène qui continue davantage en Afrique.
Evidemment, les jeunes africains continuent de prendre la mer, en rentrant d’une manière illégale dans certains pays européens, sans aucun papier. Pour le président français, il est temps de mettre un point à cela. « Il nous faut une ligne d’humanité et d’efficacité ». Il est d’avis que cette démarche est la meilleure formule pour freiner ce mal dans le monde.
« Nous devons accueillir les femmes et les hommes qui fuient leur pays parce qu’ils y sont menacés en raison de leur origine, de leur religion, de leurs convictions politiques, c’est ce qu’on appelle le droit d’asile, c’est un devoir moral, politique et je ne céderai rien, nous respecterons celui-ci » a-t-il dit.
Et de poursuivre : « nous ne pouvons accueillir tout le monde et nous ne pouvons le faire sans qu’il y ait des règles ».
Sur le terrain international, Emmanuel Macron pense que « La France fait de bons résultats », dit-il, avant d’ajouter que « la France, pays fort », aura en 2018 une « exigence universelle » et un « engagement humaniste ». Il ne se doute nullement des avancées significatives de son pays. « Le terrorisme islamiste », de « gagner cette bataille », a-t-il indiqué, a-t-il dit sur le terrorisme.
Pour y parvenir, il invite à l’union des différents Etats. En luttant contre le terrorisme, on assure, selon lui, la stabilité des Etats. « Une grammaire de la paix et de l’espérance qu’il nous faut aujourd’hui réinventer dans nombre de continents », prône Macron.