Ce n’est certainement pas le cessez-le feu décrété le 21 novembre 2012 entre Israël et Hamas qui fera oublier l’essentiel.
Il se passe quelque chose au proche Orient qui est tout simplement inadmissible. Un peuple rendu apatride par la reconstruction de l’Etat d’Israël en 1948 s’exprime de tous les moyens possibles pour obtenir droit d’exécuter et à jouir de la terre. La terre ? Les territoires occupés, on y est.
La Palestine un enjeu majeur des religions révélées et qui a valu à l’humanité sa ration de rang (les enfants massacrés par Hérode, le christ, les victimes des croisades, quelques victimes, de bombes te roquettes, beaucoup plus de palestiniens victimes de la puissante armée israélienne est dite sainte. Sans doute.
Mais, ce n’est pas ce qui s’y passe actuellement au plus haut degré de l’injustice qui la sanctifiera davantage. Gresh, le 27 janvier 2006 dans le monde diplomatique: « La victoire sans appel du Hamas aux élections législatives du 25 janvier 2006 a suscité bien des commentaires et des mises en garde indiquées des États-Unis et de l’Union Européenne. La voix de l’Afrique a besoin d’être entendue sur elle-même et sur le monde ». Car sans ouverture, ces États sont condamnés à disparaître. « Quand la maison de ton voisin prend feu, verse de l’eau, sur la tienne ».
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